1ere enquête indépendante sur la perception et l’impact des objets publicitaires en France : 70,4 % des personnes sondées connaissent la marque apposée sur l’objet publicitaire qu’ils ont en leur possession
La première enquête d’envergure sur l’impact des objets publicitaires a fait clairement apparaitre l’efficacité de ce media puisque 70,4% parmi les mille personnes interviewées se sont remémoré la marque apposée sur les objets publicitaires qu’ils possédaient.
Cette enquête se révèle être également une mine de renseignements à destination des services de communication des annonceurs en mettant en lumière la relation des consommateurs français aux objets et cadeaux publicitaires.
Enfin, en quantifiant le nombre de contacts établis par chaque objet et leur coût par contact, cette étude démontre qu’il est désormais possible de quantifier le retour sur investissement d’un objet publicitaire et donc de le comparer aux autres familles de media.
En premier lieu, cet outil de communication est connu du public, qui possède en moyenne plus de deux catégories d’objets publicitaires (2,6) : en tête caracolent les objets d’écriture avec 59%, les tee-shirts avec 36%, les produits électroniques avec 24%, les goodies (entendez par là, des produits de petite taille) 23% et les calendriers, 20%.
« L’annonceur choisit généralement les objets de petit prix pour toucher des masses plus larges, commente Cécile Jaquet, Vice-présidente de la 2FPCO, mais pour se différencier, la piste des objets à plus forte valeur faciale est à étudier : elle permet notamment d’être positionnée comme une marque généreuse ».
Des propos à rapprocher d’un autre enseignement de cette enquête, qui concerne la durée de conservation de ces objets : ce sont les bagages qui détiennent la palme avec plus de 4 ans, puis les textiles « élaborés », les mugs et autres verres, les tee-shirts et les produits horlogers avec une durée de vie de 3 ans et demie. Il semble donc que plus le coût est élevé, plus l’objet est conservé.
Il ressort très nettement que tout cadeau pour être conservé doit être utile et pratique.
Le critère de qualité, et donc de durabilité, est pour particulièrement important pour les bagages, parapluies et textiles mais le côté attractif et esthétique reste aussi déterminant lorsqu’il s’agit de mugs et verres, de goodies ou de produits horlogers. Aux goodies, on demande en plus d’être amusants ou divertissants.
Le consommateur plébiscite l’objet publicitaire puisque 76% des personnes interrogées sont sensibles à l’objet publicitaire. Mieux, elles souhaiteraient, pour 60% d’entre elles, en recevoir d’avantage.
« Cet intérêt du public, poursuit Cécile Jaquet, démontre toute l’efficacité de ce type d’outil de communication, qui véhicule parfaitement le message de la marque. L’offre est extrêmement large (environ 15000 types de produits disponibles) et les coûts par contact raisonnables, de quoi faire plaisir tant aux consommateurs qu’aux annonceurs ! »
L’objet de communication se révèle être un Media à part entière. Mais attention aux fournisseurs sélectionnés : la fabrication de l’objet de communication est très réglementée, ce qui amène la 2FPCO à recommander aux annonceurs de bien choisir leurs prestataires.
Article écrit par Juliette Salomé de 2FPCO
A propos de 2FPCO
La Fédération Française des Professionnels de la Communication par l’objet (2FPCO), a pour mission la professionnalisation, la représentation, la défense et la promotion du secteur de la Communication par l’Objet (cadeaux d’affaires et objets publicitaires) en général et les intérêts professionnels de ses membres en particulier. La fédération regroupe, autour d’une charte professionnelle, les fabricants, fournisseurs, distributeurs et marqueurs d’objets et de textiles dédiés à la communication.
Plus d’information sur www.2fpco.com
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